Taxi, comment ne pas se faire berner Ă  l'Ă©tranger

    Taxi, comment ne pas se faire berner Ă  l'Ă©tranger

    Je suis foutu. Voici. Je ne voulais en parler Ă  personne, jamais. Et donc je l'ai Ă©crit.

    L'un est un expert, organise tout, sauvegarde ici et là, réfléchit un peu aux différentes choses dont vous avez besoin et à celles qui pourraient arriver. Il se targue aussi de savoir se débrouiller et finit presque par se moquer, en dessous, de ceux qui se trompent, qui oublient quelque chose, qui en "touriste classique" la tête dans les nuages ​​se fait berner comme le dernier des imbéciles. Mais les représailles sont toujours au coin de la rue, et mes bonnes escroqueries (une en particulier me brûle encore) sont arrivées à temps.



    Ce sera que la période pascale où j'écris me rendra un peu plus enclin à un sain bain d'humilité, ce sera peut-être qu'on apprend plus de ses erreurs que des succès, en tout cas je veux raconter mon expérience peut peut-être d'une certaine utilité pour ceux qui aiment le lire.

    J'avais prévu une courte pause Tallinn, Estonie, novembre dernier, réservation d'un vol tôt le matin et d'un appartement dans le centre. Découvrir les transports publics de l'aéroport au centre et vu l'atterrissage de dimanche soir, je constate que la seule solution viable est celle d'un taxi, avec une course de quelques kilomètres.

    Puis les portes coulissantes s'ouvrent et vers la rue je vois différent taxi attente et avec le signe de service environ 8-10 euros. A partir de là, le black-out mental commence: je me rends compte que je n'ai pas imprimé ou acheté ou cherché une carte de la ville à l'aéroport; Je comprends que je ne fais rien au sujet de l'adresse que j'ai en main; Je suis accueilli par un jeune chauffeur de taxi très gentil qui nous emmène chez sa bien-aimée Lexus bleu avec mille lumières LED qui scintillent dans la nuit; nous nous asseyons et remettons l'adresse au jeune homme, qui la place dans le navigateur et allume le compteur. Une lueur de raison suggère que je lui demande combien il va dépenser, juste pour me calmer un peu, et le jeune homme marmonne quelque chose comme il ne pouvait pas savoir avant et doit mettre le compteur. Dans mon anglais, ainsi que dans son mauvais anglais, je lui pose des questions sur les tarifs de base que j'avais lus à l'aéroport, pour le centre, et il répond que mon adresse est dans le Vieille ville, qui "n'est pas le centre" à son avis et donc je dois attendre l'arrêt pour la réponse du taximètre.
    Ne sachant pas quoi dire d'autre, je m'occupe alors d'appeler le propriétaire de l'appartement réservé lorsque je me rends compte que quelque chose ne va pas. Je ne peux pas appeler. Je vérifie toutes sortes de choses, mais ça ne prend pas le net, aucun des disponibles, et pour une région absurde dont je ne me souviens même pas (et que j'ai résolu le lendemain, mais c'est une autre histoire) appels, messages et Internet ont été bloqués.



    Deux bons coups en quelques minutes et je mens: dans un taxi que je ne sais pas combien ça me coûtera (et qui, à juste titre, commence à puer) et vers un appartement d'un propriétaire avec qui je peux '' t entrer en contact. Puis c'est le soir, je suis fatiguée, je ne suis pas dans le pays avec le climat le plus doux du monde et je suis avec ma copine dont je ne veux pas m'inquiéter.
    Le taxi arrive et nous conduit à la bonne adresse, qui correspond cependant à une porte qui s'ouvre sur une cour intérieure, avec une série de cloches sans aucune indication. Mais avant de s'inquiéter de cela (qui est résolu plus tard après une dizaine de minutes), il y a un taxi à payer.

    Il me montre l'affichage du taximètre: 48. Avec un petit kn en bas, qui est le symbole de l'ancienne monnaie estonienne. Mais le jeune homme me précise, après 5 ou 6 demandes de ma part, que c'est euro, 48 euro. Étiré. "Tu es fâché!" Je lui dis et le répète, d'une manière de plus en plus hallucinante, et il n'est même pas si surpris de dire la vérité. Mais cela confirme que j'ai raison 48€. J'aurais merdé si je n'avais pas été à l'étranger, tard dans la soirée, avec ma copine et peut-être avec un téléphone en état de marche.
    Mais je lui ai apporté la note orange. J'aurais jeté les deux euros qu'il me rend sur la tête. Ou sur sa belle Lexus. Mais maintenant, la meilleure chose à faire était d'avaler la bouchée amère et de profiter des vacances!


    Moral:
    • Toujours obtenir une carte, de préférence une carte papier
    • Soyez bien informé sur la destination et les moyens de l'atteindre
    • Vérifiez les réseaux itinérants, l’inattendu approche à grands pas
    • Ne prenez pas les taxis «différents» ou les sympathiques chauffeurs de taxi qui se rencontrent


    PS: sur le chemin du retour, je suis parti avec moins de 10 euros, bagages inclus!

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